Pure de chez Brooks, après 4 ans d'expérience
Sans être franchement minimalistes comme certaines marques, les Pure de chez Brooks offrent un drop réduit (4mm sur la plupart des modèles) mais aussi une technologie qui donne confort et dynamisme.
Courant en Brooks depuis 2008, j’étais un adepte convaincu des chaussures de compétition de la marque (particulièrement la Green Silence arrêtée depuis et également la Launch, lire ici l’article « Chaussures Brooks, osez la légèreté »), que ce soit en entrainement ou lors des courses d’ultra. Depuis 2012, et particulièrement dès l’année suivante, je suis passé aux modèles Pure et j’ai eu l’occasion de tester en réel 4 modèles de la marque (il en existe d’autres, allez sur le site Brooks). Je détaille chacun d’eux après plus de 4 ans d’expérience, soit quelques milliers de kilomètres.
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Méthode Cyrano : Courir moins pour courir plus !
En deçà d’un certain niveau de performance, beaucoup de coureurs d’ultra, lors des compétitions, sont tôt ou tard contraints à la marche. En général arrivés aux limites de l’épuisement, c’est la seule allure qui leur permette de continuer à avancer.
Y a-t-il une justification à cette inéluctable dégradation de la vitesse et du geste, qui aboutit au final à ce que l’on cherche à repousser le plus longtemps possible : on marche parce qu’on ne peut plus courir !
Ce qui voudrait dire que pour cette population, majoritaire sur les courses au-delà du marathon, il y a forcément une alternance, dans des proportions variables, entre course et marche. Dans ce cas, est-il possible d’agir afin d’accorder une part prépondérante à l’allure la plus rapide, donc à la course ?
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Le sel de la vie dans la vallée de la mort
Le suivi sanitaire d’une course d’ultramarathon extrême par sa distance et ses conditions caniculaires, ont été l’occasion de revisiter la prévention des coups de chaleur d’exercice et les conditions d’hydratation optimales dans le cadre de l’effort prolongé par grande chaleur.
Autour d’une base théorique et d’une surveillance fine du coureur pendant les 38h et les 217km de l’épreuve, Il apparait que l’utilisation d’eau salée à 2g de NaCl par litre est plus performante que l’utilisation de pastilles de sel au niveau de l’absorption digestive de grandes quantités de liquide.
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